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Vu lu et entendu

Les 3/4 des administrateurs sont en secteur 2. La CARMF n'a dans cette affaire qu'un rôle de spectateur.
Un des nombreux mensonges répétés dans le courrier des lecteurs de la presse professionnelle par quelques agitateurs qui cherchent à détourner l'attention des vrais problèmes. Le Conseil d'Administration est composé de 39 % de secteur 1, 37 % de secteur 2, 2 % hors convention et 22 % d'allocataires. Pourquoi ceux qui en 1972 et 1981 se sont attribué des points gratuits par des décisions du Conseil d'Administration disent-ils aujourd'hui que cette gestion n'est pas du rôle de la CARMF ? C'est le rôle de la CARMF lorsque cela arrange, ce n'est plus le sien lorsque cela dérange. C'est le rôle de la CARMF lorsqu'elle est discrète et cache les choses, ce n'est pas son rôle lorsqu'il faut dire la vérité.
Chaque cotisant a le droit de savoir où va son argent, celui des caisses, et quel retour il aura. Si la CARMF avait été écoutée lorsque les cotisations n'étaient pas appelées à leur niveau au lieu d'écouter le mutisme des syndicats et des cais-ses, nous n'en serions pas là.
La réélection de l'équipe actuelle en 2003, c'est la mort de la CARMF.
Le Conseil d'Administration actuel travaille sur le long terme, afin que tous aient demain une retraite, que le maximum soit garanti contrairement à ce qui se faisait par le passé, et que le retour retraites sur cotisations soit plus équilibré entre les générations, au nom de l'équité et de la confraternité. L'ASV est un acquis syndical et nous devons exiger le maintien du contrat qui nous lie aux caisses.
En 18 ans, aucun donneur de le�ons n'a pu "exiger" que les caisses payent leur dû, volontairement limité à 60 ou 75% par les décrets ministériels qui n'ont que faire d'un contrat avec les médecins. Même chose en 1999 lorsque les caisses ont payé moins que les 2/3 pour les spécialistes ; même chose avec le contrat conventionnel + 5 %, - 5 % non respecté.
Il serait temps de tirer les le�ons du passé concernant nos moyens de faire exiger le respect d'un contrat passé avec l'Etat. Les ministres et les chefs syndicaux changent, aucun ne se sent responsable de ce qu'ont fait ou promis leurs pré-décesseurs et ceux qui dénoncent cet état de fait sont accusés d'extrémistes et de populistes pour les faire taire. S'il faut un jour, multiplier les cotisations par 4 pour maintenir les droits au taux actuel, notre garantie ne peut reposer sur ce seul "Y-a-ka faire respecter", faute de voir les secteurs 1 multiplier par 3 X 4 = 12 leur cotisation. Nous voulons de vraies garanties pour les cotisants et futurs retraités et savoir si ceux qui ont fait des promesses sont capables de les tenir.
Exigeons l'ouverture du numerus clausus pour maintenir un équilibre de 2,5 cotisants pour un retraité.
Doubler le nombre de médecins est un leurre. Plus qu'au nombre de médecins, l'assiette de cotisations de la CARMF est liée à l'ensemble des honoraires médicaux qui ne va pas doubler d'un coup de baguette magique. 20 % sur le prix de la consultation rapporte autant à la CARMF que 20 % de médecins de plus. Deux fois plus de médecins, c'est moins d'honoraires pour chacun, plus de difficultés pour payer, moins de retraite.
L'ASV n'est pas de la responsabilité de la CARMF. Ce sont les caisses et les syndicats qui décident.
Ce ne sont ni les caisses, ni les syndicats, mais le gouvernement seul qui décide et a toujours décidé. La dernière convention signée prévoyait que les cotisations devaient augmenter et le point baisser, chacun de 5 % par an pendant 3 ans. Le gouvernement a augmenté la cotisation de 20 % et baissé la valeur du point de 5 %. Pourquoi les signataires, comme chaque fois ne disent-ils rien ? Pourquoi les retraités qui réclament à tort et à cri le maintien du contrat ont-ils oublié ce "détail" ? On a également vu pour les spécialistes secteur 1 que les syndicats n'ont aucun pouvoir pour faire respecter les 2/3 - 1/3. Faute de négocier l'arrêt de l'ASV on propose maintenant le maintien avec fusion ASV, ADR.
Rien n'a été négocié ni même discuté. Nous continuons comme annoncé notre travail, explorant toutes les pistes, sans que l'une ne soit favorisée, d'où cette nouvelle piste de maintien proposée. Ce n'est pas LA solution comme annoncé dans la presse, mais UNE parmi celles qui seront soumises à l'Assemblée Générale, conformément à nos engagements.
La suppression de l'ASV est une réduction de vos honoraires. En bloquant vos cotisations on veut faire de vous des retraités smicards.
En échange de 2 416 F par an, part moyenne en francs courants payée par les caisses entre 1972 et 1990, le revenu horaire du généraliste est en-dessous de celui du coiffeur, et celui du chirurgien en-dessous de celui de l'expert comptable.
N'est-ce pas au contraire l'ASV qui réduit les honoraires ? La cotisation de 0,64 % de l'ADR, 2 500 F en moyenne en 2001 est à rajouter à la cotisation ASV au titre des "avantages conventionnels". C'est l'ASV qui réduit les honoraires !
30 ans de cotisations pour un revenu moyen, donneront 36 000 F de retraite de base, 82 000 F de complémentaire, avec 65 000 F pour l'ASV (sous une forme ou sous une autre), cela fait 183 000 F. C'est l'objectif que nous nous sommes fixé : maintien de la retraite moyenne actuelle sans augmenter et sans cotisation au-delà de 20% du revenu.

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